GARDER TRACES et après

 

L’atelier comme lieu gardant trace des activités et créations passés

Le travail comme témoin d’un travail passé, un retour à la lumière, une réminiscence de ce qui a été un cheminement.

 

Le travail a quelque peu changé avec la série des Tony, une peinture plus rapide, parfois le sujet prémédité, réfléchi pendant longtemps, mais une rapidité d’exécution pour gagner en spontanéité et perdre en peinture laborieuse, effaçant les jaillissements ou les saisies rapides et souvent bien senties.

 

Le travail sur le projet Sycomore, peindre comme un œil témoin de l’amoncellement accumulé de strates du passé comme sujet des peintures.

 

Le travail a quelque peu changé avec la série des Tony (sculptures des grandes têtes mises en scène dans l’atelier) : un dessin sommaire, inabouti ou du moins fugace d’un temps qui est voué à devenir une page du passé, sous une peinture rapide,

Parfois le sujet est prémédité, réfléchi pendant longtemps, mais une rapidité d’exécution pour gagner en spontanéité et perdre en peinture laborieuse, effaçant les jaillissements ou les saisies rapides pour les espérer bien senties